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#winery

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… Je pensais la semaine dernière que ce serait fait très rapidement aujourd’hui. Il n’a pas plu de toute la semaine, il devrait être plus sec, donc nous n’aurions même pas besoin de bottes en caoutchouc, même si nous les avions emballées pour être plus sûrs.

(Le diable est un écureuil et qui ne le sait pas mieux que moi quand il s’agit du travail de la vigne.)

Le soleil et le vent glacial soufflaient contre nous lorsque nous sommes sortis de la voiture, mais rien ne pouvait entamer notre moral.

Descendus à la terrasse, nous avons bavardé brièvement sur la façon et l’endroit où nous pourrions le mieux empiler les vignes et nous sommes partis.

La première vigne, à moitié enfoncée dans le sol, a été immédiatement aperçue et courageuse – selon le même principe que la semaine dernière : L’un ramasse, l’autre transporte – je me suis jeté dessus.

Cependant, l’effet escompté n’a pas été atteint lorsque les racines de la vigne ont été arrachées. Au lieu de la vigne en main, rien de plus qu’un coup dur a traversé tout le corps.

Rien n’a bougé là-bas.

C’est alors qu’une lumière s’est allumée pour moi. Un mélange sans argile qui est humide est velouté, souple et lourd.

.

Quiconque se souvient d’un travail manuel à l’école a certainement eu l’occasion de participer à une poterie.

Et c’était exactement ce que je ressentais.

Une semaine s’était écoulée après avoir quitté le dernier cours de poterie et en retour, vous avez obtenu une sculpture de paysage bizarre qui était pratiquement indestructible si vous ne la laissiez pas tomber.

Heureusement, nous avions laissé une pelle sur place lors d’une de nos actions en décembre. Elle est arrivée à point nommé. Avec des leviers et des pressions, nous avons réussi à faire sortir les vignes du sol.

Mais je ne veux pas seulement pleurnicher.

Alors que les vignes étaient auparavant extrêmement lourdes parce qu’elles étaient recouvertes de terre humide, la terre ruisselle légèrement ici et se brise même parfois sous l’effet du vent fort et de l’éloignement.

Ceci a bien sûr facilité le transport des ceps de vigne. Il nous a même été possible de sauver la plupart des distances en utilisant d’habiles techniques de lancer. Mais cela nous a aussi fait cruellement défaut, tant il nous a fallu rassembler d’énergie pour défricher le champ.

En fin de compte, après environ une heure et demie de travail acharné, le moment était venu. Nous pouvions dire : NOUS L’AVONS FAIT ! Le champ est prêt pour l’étape suivante, le bêchage du champ. Cela signifie un ameublissement du sol à une profondeur de 60 cm.

On prévoit jusqu’à -10 degrés et de la neige pour les prochains jours, ce qui ne devrait pas non plus être une promenade de santé pour la machine.

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